Une nuit à la belle étoile merveilleuse. Je crois bien que c’est ma meilleure nuit depuis notre départ. Pas de moustique, un air juste frais comme il faut et les étoiles au plafond. C’était génial. D’ailleurs Pascal fait durer le plaisir.

Notre campement c’était ça hier. Nous avons dormi juste derrière ma tente de gauche. Réveil à 8h00. Peu de km mais de la côte, les enfants ont besoin de repos.

On décolle avec ma super décapotable à 10h45.

À la sortie de notre camping, grand fou rire. Un Chine joua cache cache. Le rêve de Pierre-Louis.

La route est belle et tranquille. Nous montons, c’est sûr et ça se voit sur la photo, mais c’est de la petite route tranquille.

On croise un fauconnier. La bête est magnifique.

Au loin la mer s’éloigne.

Moi j’ai trouvé le carrosse de Cendrillon, me manque plus que la fée Salagadou, la, machikabou, la, petipetibou.

On continue tranquille pendant 1h30. Nous trouvons plein de fruits sur la route. Figues, quetsches, raisins et même des kiwis. Jamais vu autant de figuier de ma vie. Jamais mangé autant de figues de ma vie.

Regardez le panier avant de Solène.

On trouve aussi le vélo du Marsupilami. Bon pour aller jusqu’à Pula, on préfère garder nos montures.

Pascal avance toujours aussi vite. Il attend donc au croisement et pour indiquer les changements de direction.

Cela fait 2h00 que nous roulons, figues et autres fruits ne suffisent pas… sauf qu’on a pas trouvé de magasin sur le chemin. Et hop un deuxième repas junkfood. Moi j’ai essayé Nuts dans le pain, c’est très bon. Les enfants ont préféré crackers goût pizza dans leur pain. 🤮. Chacun ses goûts.

Voilà le gros dénivelé de la journée qui s’annonce. Nous sommes là !

Tout en haut du fjord. Preuve avec les enfants. Ben va falloir aller en bas puis en haut de l’autre côté.

La descente, c’est facile même si les voitures n’apprécient pas qu’on se soit mis au milieu pour les empêcher de nous doubler. Il faut dire que nos pégases font du 35 km/h voir presque 40 km/h en descente. Pas envie d’être doublé à cette vitesse.

Mais en bas, sentence.

Et moi j’adore voir la circulation qui du coup ralentie quand il faut doubler la troupe Cézard. Comme dit Pierre-Louis, « Il y a des bouchons sur l’A86Fjord ».

Ben on la fait. Tranquillement mais sûrement. Avec un arrêt casse sacoches pour Raphaël au milieu mais on a pu réparer sur un bas côté en sécurité. A l’arrivée récompense Crocodile Haribo.

Et on repart sur du petit chemin. Tous ensemble, j’adore. Et ça sent bon le thym et les pins parasols. Un vrai bonheur.

Nous pédalons au milieu des champs d’oliviers.

Encore une crevaison, nous sommes. Passes par du chemin de cailloux. C’est super. Difficile et ça crève les pneus. Mais cette fois ci, ce n’est pas Pierre-Louis, c’est pour Amandine. Pneu déchiré. Encore une fois de la chance, un Intersport 10 min après. Pas sûr que la chambre à air neuve ait tenu bien longtemps. Il y a encore 40km jusqu’à Pula.

Arrive au camping à 19h00. Tout est plein. Il faut supplier. C’est parce que nous sommes en vélo qu’on nous propose de nous installer derrière le terrain de volley. Faudra faire avec.

Ce camping est immense. Comme tous ceux de la côte. C’est une usine.

Ils ont même des espaces pour doucher les chiens.

Installation tente

Puis baignade

Ce soir purée-saucisse grillée, c’est la fête.

Bonne nuit à tous, demain on termine notre voyage à vélo et on rencontre Jérémie.

Salutations cyclistes

Anne-Laure