Et voilà c’est reparti. Et comme toujours il faut commencer par justement partir… de Lyon.

Cela fait longtemps que nous avons décidé de préférer le train à la voiture.

Plus écologique bien-sûr, mais aussi plus simple. Il suffit de se laisser porter par le train. Avec une chienne morte de trouille en voiture cela devient une évidence.

Mais quand en plus le train est direct de Lyon à Nantes. La question ne se pose plus. Le seul truc est d’attraper le train.

Alors que nous avions pris des billets au départ de Lyon Vaise, j’ai réalisé hier que le train partait de Perrache. La raison et la prudence nous invitent à nous rendre jusqu’à Perrache pour être sûr d’avoir du temps pour monter dans le train. En effet, 4 min à Vaise c’est chaud.

Bien nous en a pris ! N’ayant pas réservé de place pour les vélos, nous ne voulons pas risquer d’être refusés.

Nous arrivons 20 min avant à la gare. Le contrôleur est un peu « toochy ». Je lui sors mon petit discours et tout « passe crème ». Il faudra juste que nous payons les emplacements vélos. Et ça me va très bien !

Nous sommes installés pour 6h44. Direct sans changement. Le pied absolu ! Et bien sûr c’est l’année où nous ne sommes que 3 que ce train existe 🤔.

C’est repos et jeux tranquillement. À Nevers j’arrive même à aller chercher un café pendant le changement de sens de la micheline.

Arrivée à Nantes à 16h15. Il faut recharger les vélos avant de pouvoir sortir de la gare.

À Nantes il y a des œuvres d’art un peu partout dans la ville et une dès la sortie de la gare.

La ville offre des petites surprises pittoresques comme cette rue offrant des marionnettes au dessus de chaque boutique.

Arrivée au camping, Raphaël monte le campement en vitesse. Il a un objectif !

Le mini golf !

Et c’est moi qui gagne ! Je leur ai mis une véritable raclée malgré un trou à 9 coups. 😁🤩

Petite bière qui sonne vraiment le début des vacances avant d’aller se reposer. Osiris est au paradis. Le calme et la verdure.

Demain nous allons à l’Île aux Machines.

Merci pour cette premier lecture. À très vite.

Anne-Laure