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La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre (Albert Einstein)

Mois

août 2020

Le Mont Saint Michel – St Benoit-les-Ondes. Le 14/08/20. 45 km

Bonjour à tous. Je sais que les articles sont parus sans photos. Je suis navrée mais je n’arrive pas à faire mieux pour le moment. Gros problème de réseaux.
J’ai le choix entre ne pas faire d’article ou en faire sans photo. Vous connaissez celui que j’ai fait.
La journée d’hier a laissé des traces.
Après les 73 km, Amandine avait mal à son genoux gauche. Un patch Flector et au matin les choses allaient beaucoup mieux. En ce qui me concerne, tous ces km ne m’ont pas gêné. Aucune douleur.
Par contre ce matin au réveil, clairement, je sens mes cuisses. Pas de douleur réelle aux genoux mais un rappel de l’existence des muscles des cuisses qui sont, je vous le rappelle, les plus gros muscles de notre corps.
Et bien figurez vous que ce n’est pas désagréable. Et puis une fois sur le vélo, j’oublie.
Au réveil, nous confirmons qu’Osiris est fatiguée. Ses pâtes ne vont pas trop mal, mais les chaussons ont appuyé son ergo sur sa patte et ce n’est pas très joli. Pour elle, pas de course aujourd’hui, cariole obligatoire. Il va falloir la contenir dedans. Un vrai défi.
Une fois le campement rangé, le petit déjeuner pris, nous décollons à 10h50 !

YES 10 min de mieux que la veille, il faut savoir se contenter de peu 😬- direction le Mont Saint Michel.

La vue est saisissante.

Le temps étant très brumeux avec un léger crachin qui fait bien râler les enfants, le Mont semble se cacher de nos yeux. C’est grandiose.
Il y a depuis quelques années une route qui permet d’arriver au pied du Mont et qui est emprunté par des navettes. Ces bus sont très originaux car ils sont dotés d’une cabine de conduite des deux côtés du bus.

Normal, il ne leur est pas possible de faire demi tour une fois au pied du Mont. Donc en fait le bus circule en étant toujours dans le même sens. Seul le conducteur passe d’un côté à l’autre. Il fallait y penser.
Nous laissons nos montures avec toutes les sacoches au pied de l’ange sans pouvoir ni les attacher, ni espérer une autre surveillance que celle de celui qui nous observe du haut de sa flèche.

Nous qui passons nos vacances dans une forme de solitude en étant chacun sur nos vélos, à circuler dans la nature, moi qui ai du mal avec la foule compacte- sauf aux concerts de rock j’avoue- ici c’est l’horreur. Le Mont est plein de touristes. On se marche les uns sur les autres. Tous avec un masque, mais aucune distanciation possible. Le petit virus doit se régaler.
Nous le supportons guerre cette ambiance surpeuplée et choisissons de vite redescendre pour aller pédaler dans la nature.
Il pleut un peu. Un grosse bruine. Qui mouille un peu et surtout qui nous refroidi. Surtout Amandine. Il est presque 14h, tout ceci met Solène et Pierre-Louis de mauvais poil.
Dans ces cas là, il faut nourrir les bêtes pour les calmer. Ce sera friterie avec Panini pour réchauffer les corps et les esprits.
Quand nous remontons sur les vélos, la météo est plus clémente.
Il faut ficeler Osiris dans sa cariole pour qu’elle y reste allongée pour se reposer.
C’est Pierre-Louis qui l’a tracte depuis hier midi. Il a en fait largement assez de force pour porter non seulement la tente car nous avons allégé Amandine depuis hier à cause de son genou, mais aussi le chien. Inutile que je m’épuise. Solène prend très à cœur de surveiller sa chienne. Ces deux là, pardon ces 3 là si on compte la chienne feront le voyage de la journée ensemble tout du long.

Cette piste est prodigieuse. Nous sommes sous une belle allée d’arbre. Le Mont Saint Michel est derrière nous. Nous nous éloignons tout en prenant la mesure de la baie que nous logeons. Nous voyons les cultures de maïs mais aussi de poireaux et au loin les champs de près salés puis la zone de vase qui sera sous l’eau une fois la marée haute. Les couleurs sont dans le gris, le blanc, l’épure. C’est Subjuguant.

Les maisons me font penser à celles d’Auvergne par la taille de la pierre. Elles sont par contre plus basse. Rarement plus d’un étage. Volets aux couleurs chatoyantes et parfois des toits de chaumes.
Vers 16h, nous arrivons à la Chapelle Sainte Anne. La vue sur la baie est époustouflante.
Nous pouvons encore apercevoir le Mont Saint Michel bien sûr, mais la cote de Saint Malo se devine, les îles de aussi.
Et le soleil a maintenant presque réussi à percer les nuages.
Voilà que les couleurs changent. Un peu de bleu dans la mer, du vert sur la mer. Les paysages sont grandioses. Je ne m’en lasse pas.

Nous devons pédaler face au vent. Car ici du vent il y en a !
D’ailleurs si nous le subissons, d’autres s’en sont servi autrefois – les vieux moulin à vent en témoigne qu’il leur reste leurs ailes ou pas- aujourd’hui c’est une source d’amusement, de plaisir ou de sport. Il y a énormément de char à Voile. Le village de Berceaux est d’ailleurs la capitale mondiale de ce sport et en organise les championnats du monde. Il faut dire que le lieu se prête parfaitement à cette pratique.

Je trouve aussi de drôle de panneaux 🤣


En quittant le village, nous tombons sur une maison qui nous fait clairement penser à celles des Hobbits. Elle est de toute beauté, sa porte, le porche, les formes, quelle belle œuvre.

Nous continuons à longer la baie.
C’est maintenant le monde des conchyliculteurs. Pascal pourra donc se régaler d’huîtres ce soir.

Moi je continue à m’extasier sur les couleurs de la baie. Je suis époustouflée. J’étais déjà venue ici…. mais en voiture.
Encore une fois, mon vélo m’offre de voir le paysage plus intensément, plus profondément.

Les Moulins profitent du vent ….

Ou se font couper les ailes.

Moi qui vais toujours vite dans l’année, moi qui suis plutôt speed comme personne, affairée a mille et unes choses à la fois, en vélo… je prends mon temps.
J’ai appris à respecter mon corps, mes muscles, mes articulations pour aller à la bonne vitesse. Celle qui n’est pas une souffrance et qui me permet de porter pleinement de mon vélo, de mon corps que je sens travailler sans aucune souffrance, du silence qui m’entoure et de la beauté des paysages que je traverse. Oui le vélo mérite bien son surnom de « Petite Reine». Pour moi ma bicyclette, mon Blacky est bien plus.

A 17h30 les enfants nous annoncent qu’ils sont arrivés au camping et commencent à monter la tente. C’est presque un miracle.
Non seulement pour l’heure d’arrivée, mais aussi car quand nous les rejoignons, la tente est montée, le campement est presque en place.


Tout le monde va pouvoir se baigner dans la piscine ce soir.
Il y a des planchas à disposition. Ce soir, saucisse grillées. C’est la fête. Et bien sûr des huîtres pour Pascal, des galettes en dessert Quelle belle journée de vélo.
Je vous mettrai des photos bientôt, promis.
Au moins l’article…. merci de votre lecture.
Amicalement.
Anne-Laure

Soleil, pluie et beaucoup de km. Carentan- Pont Farcy. 72km

Après notre belle journée à Utah Beach, nous avons eu une nuit bien agréable à la fraîche. Cela fait vraiment du bien. 
Le réveil à 7h n’est pas trop douloureux. Plutôt cool. Au vu du programme de la journée, il y a croissants et pains au chocolat au petit déjeuner. Nous décollons du camping à 10h. Le premier pliage, c’est comme le premier montage… long. 

Départ sous un beau soleil pour une grande journée de vélo.

Nous avons 72km à faire. Ce n’est pas vraiment un choix, il n’y a pas de camping entre les deux.
Nous savons que la piste est facile, pas trop de côtes, et que nous sommes capable de le faire. La seule inconnue, c’est Osiris. Nous nous sommes fixés comme limite 25km maximum pour elle. Le reste dans la cariole qui est attachée à mon vélo.
Car le problème est qu’Osiris veut absolument être devant. Toujours. Donc si un cycliste démarre, elle fonce pour le suivre. Et ça n’est pas possible pour elle. Elle n’est que dans le plaisir et avancer avec nous. Donc carriole forcée. Osiris accepte sans problème de monter dedans. Par contre, elle refuse de s’assoir. En étant debout, elle fait beaucoup bouger la cariole. Il faut donc beaucoup de force dans les bras pour tenir le vélo. Et accessoirement… la bête pèse son poids : 20kg.

Bref, quand elle court,nous sommes en moyenne à 16km/h. Quand elle est dans la cariole et que j’ai réussi à lancer le vélo, je monte à 28 km/h. Les descentes sont en pointe jusqu’à 40 km/h. Le calcul est là, entre les arrêts pour la faire monter, descendre, la pause déjeuner et autre forme de ralentissement… nous avançons à environ 10km/h Max. Pas très rapide. L’objectif est d’être au camping à 18h.


Le paysage est magnifique. J’adore toujours autant suivre l’eau. Au début, c’est un canal. Nous sommes dans les marais du Cotentin.

C’est à peu près à cet endroit que Pascal nous arrête tous. Après avoir oublié la veille sa veste dans les sanitaires… heureusement ramenée à l’accueil… il réalise qu’il a perdu ses lunettes de vue. Il faut ouvrir toutes les sacoches où elles peuvent potentiellement être. Malheureusement… rien.
Pascal a appelé le camping. Petit Poucet a de la chance, elles ont été trouvées. Mais Petit Poucet va devoir faire demi tour. Ce sera 5km pour y aller et idem au retour. En vélo, tout se paie 🥺.

Nous avançons sans lui, il nous rattrapera en prenant la route. Rendez vous à Saint Jean Daye.
La pause déjeuner y compris est sympa. Nous aimons ces moments simples.

Nous re décollons à 13h. Il reste 50km à faire. On est dans les temps. Nous suivons encore l’eau, mais celle là est libre. Nous suivons La Vire.

Nous ne lâcherons plus la rivière jusqu’à notre arrivée.

La piste est facile, mais poussiéreuse. Osiris est dans la cariole depuis la pause déjeuner. Il faut la préserver. Moi je galère un peu mais ça va. Pause goûter.

Nous apprenons que demain, ça va monter dur. …. On verra bien. De toute façons, quand on est à vélo, on subit la topographie. Mais on la sublime aussi, on l’admire depuis nos montures, on savoure les descentes. On s’en met plein les yeux du paysage. Et puis une cote =une descente. Alors l’un dans l’autre, ce n’est pas trop grave.
Être en vélo : c’est voir de l’insolite, c’est être au plus près de la vraie vie. Parfois, on croise de drôle de personnages.

La France est belle. De simplicité de ses campagnes. Ses villages petits et envoûtants me surprennent toujours.

Les ponts sont toujours fascinants. Souvent signe d’angoisse pour moi même si je me soigne et que mon vertige va mieux. Ici en Normandie, peu sont anciens. La guerre a laissée des traces qu’il faut deviner.

Les églises parcourent le chemin. Il est impossible d’oublier que notre pays est historiquement de culture chrétienne.

À 17h, Pascal annonce que l’orage veut être de la partie. il nous reste un peu plus de 18km. Nous subissons un vent de face qui nous ralenti depuis 15h. L’annonce de l’orage n’est donc pas une surprise. On le sentait bien arriver. La question est donc de savoir si nous réussirons à atteindre le camping avant la pluie. La réponse est NON ! À 3 km de l’arrivée, l’orage nous tombe dessus. Trempés en moins de 2 min. Ce n’est pas un problème pour avancer, sauf pour les baskettes qui seront encore trempées demain. Rien que d’y penser, j’en suis dégoûtée. Pédaler avec les pieds humides. Dur dur.
Heureusement, lorsque Pascal m’a annoncé la pluie, j’ai téléphoné au camping et j’ai pu réserver un mobil-home. Il n’est que pour 4 mais au moins les enfants dormiront au sec.En fait, quand Pascal arrive environ 15 min avant moi, il n’a aucun souci pour faire que nous puisssions tous y dormir. On s’arrangera bien. Du coup pas de tente à monter. C’est agréable quand il pleut. Tout mettre à l’abri, prendre une douche chaude puis aller acheter à manger. Ce sera saucisse-purée avec même du gruyère dedans ! Pendant que le repas est préparée,je fais la lessive et le sèche linge. Ce fut un donc une grosse journée et celle de demain s’annonce également sportive. Mais ce sera l’objet d’un autre article. Je ne sais pas quand vous aurez celui-ci. Ni si les photos passeront. À Pont Farcy, il y a de la pluie, un petit camping municipal tout à fait sympathique et peu cher… mais absolument pas de réseau. 😂. Merci de votre lecture. Anne-Laure

Pont-Farcy- Vire- Le Mont Saint Michel. Le 13/08/20. 40km

L’article d’hier n’arrive pas à se télécharger. Vous allez donc en être privé. Je ne comprends pas pourquoi. Hier aucun réseau, ok mais aujourd’hui à chaque fois que j’ai pu j’ai tenté. J’ai même retiré toutes les photos.
Je tente aujourd’hui depuis internet pour l’article du jour. Sans les photos. Elles viendront plus tard. On verra bien.
Laissez moi vous expliquer le topo prévu.

Nous n’avons que peu de KM à faire … sur le papier. Car ces kilomètres sont durs. Énormément de dénivelés. Parfois 100m en peu de distance. Les côtes sont raides. Et nos vélos lourds.
Quand certains d’entre vous regardent le Tour de France, vous êtes déjà épatés par ceux qui gagnent les étapes de montagnes. Il y a même un maillot spécial pour vélo qui est considéré comme les meilleurs grimpeurs. Le maillot à poids me semble-t-il.
Mais il faut savoir que leurs vélos sont légers. Très légers. Alors que les nôtres frôlent le 15kg à vide, plus tout le chargement. Celui de Pascal doit avoisiner les 80kg une fois chargé, le mien 70kg. Bref, toute côte est un enfer.
Et aujourd’hui nous allons en avoir des sacrées. Des dénivelés de 100 mètres.

Après la journée d’hier, d’entrée de jeu une côte à 16%. Dur dur. Et ce sera comme ça toute la journée.

Pas le choix, je descends du vélo et je pousse. Pascal n’arrive pas à pousser le sien, il préfère mouliner et s’arrêter souvent.
Les enfants ne râlent pas trop. Sauf Raphaël qui fatigue. Osiris est à nos côtés. Elle monte dans la cariole uniquement pour les descentes. Notre moyenne est effroyable. 5km/h.
Nous profitons d’un espace avec des tables pour faire la pause picnic relativement tôt par rapport à nos habitudes. Il est 12h30.

Après le départ de la troupe.

Nous sommes partis depuis 1h30 et nous avons fait 13km. Il reste 20 km à faire. Nous avons un train à attraper à 16h26. Il ne va pas falloir traîner.
Après une énorme côte absolument affreuse, nous réalisons que nous sommes sortis de la piste. Il faut alors faire appel au GPS. Heureusement que la technologie est là pour nous aider.
Le GPS annonce 13 km. Sur la route. Osiris passe en cariole et nous enfourchons nos montures.

Les maisons sont belles sur le chemin.

Nous sommes à temps po attraper le train. Normal il était pour moi… regardez sa couleur.

À la sortir de la gare, une belle maison nous fait encore signe.

J’aime beaucoup de pigeonnier.

Sur la piste j’aime admirer les maisons, les a paysages et les arbres majestueux. Il me semble qu’il nous observent. Petits hommes affairés à bouger dans tous les end alors qu’eux sont là, immobile, plein de sagesse et d’histoire.

Nous arrivons à 18h40 au camping. Les enfants ont juste le temps d’aller se baigner un peu.
Nous sommes sur un espace commun aux cyclistes où nous trouvons une autre famille de cyclorandonneurs. La vie est trop drôle, et le monde petit. Pierre-Louis a eu le beau-frère de la maman comme professeur de français en Cinquième. Comme dit Pierre-Louis, le seul prof de français qui m’ai fait aimer cette matière.

Côtes d’agneau de Prés Salés au dîner, suivi de crêpes.
La nuit sera bienfaitrice et réparatrice.
Demain, visite du Mont Saint Michel puis direction Saint Benoit les ondes.
Merci de m’avoir lu.
Amicalement.
Anne-Laute

Été 2020. Normandie et Bretagne

Et voilà. Nous repartons. Enfin. Vraiment.

Comme à chaque fois, les préparatifs sont long et un peu compliqués. Quand à 6h du soir vous avez l’impression d’avoir plus qu’à fermer les sacoches et ce sera bon…. vous réalisez 8h plus tard – parce ceci quand même une pause dîner au milieu – qu’il est minuit et que ce n’est pas encore fini.

Bref à 2h Pascal et moi avons enfin pu aller nous coucher en ayant tout mis sur les vélos.

Nos vélos
Les vélos dés d’enfants dans le garage

Réveil à 5h15. Le premier train est à 7h16 à la Part-Dieu. Nous prenons le Lyon -Paris Bercy en Ter. Seul possibilité avec 6 vélos et 2 carioles.

Le réveil se passe en douceur et nous montons sur nos montures à 6h30 pour nous rendre à la gare.

Petit déjeuner dans le train avent une petite sieste.

La SNCF est fidèle à sa réputation. Le train est un vieux corail avec trois marches à monter et des petits espèces vélos répartis sur tout le train. Nous sommes obligés de scinder le groupe. Mais ça passe. Le train est plein de cyclistes. Peu iront jusqu’à Panam. Beaucoup de descente pour aller dans le beaujolais ou les vignobles à Dijon.

Dans le train, c’est lecture, sommeil et smart Phone.

On se repose et on profite un peu du paysage. Parfois Pierre-Louis fait office d’oreiller 😂.

Arrivés à Paris, il faut tout descendre, remonter nos attelages et direction Paris -Saint Lazare. Traversée de Paris en vélo avec Osiris qui cours à côté ou reste bien sage dans sa cariole. Première aventure pour nous. Mais tout se passe bien.

La grosse angoisse fit pour les billets de trains. Impossible de prendre deux billets pour Pascal et moi. À 12 min du départ, nous choisissons d’acheter des billets pour le suivants et on verra bien avec le contrôleur. Nous aurons de la chance, il est super sympa aussi.

Il est 5h, nous avons faim.
Sur le chemin, l’église de Bayeux donne des regrets de ne pas la voir de plus prêt.

Nous arrivons à 17h59 à la gare de Carentan. Nous avons 1 min pour tout descendre du train.

Nous avons fait il y a longtemps le choix du train à la place de la voiture et d’une grosse remorque. Mais quand même quelle galère à chaque fois. C’est toujours beaucoup de stress, d’efforts physique pour rentrer et sortir les vélos et nos sacoches. Après, c’est en accord avec nos valeurs et l’écologie. Mais bon, si seulement cela pouvait être plus simple. Il y a encore beaucoup de travail pour développer la mobilité douce.

Arrivée à Carentan, nous nous rendons au camping. Et c’est le premier montage de tentes. Solène calcule le timing. Bons ? Rouillés ? Mauvais ?

Voilà. Cette première journée est toujours celle du transit avant celles du plaisir à vélo.

Vivement demain ! Merci de m’avoir lu et à demain pour la suite de nos aventures.

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