Nous avons été placé dans une piscine une super tranquille de notre camping. Cela fait du bien de ne pas avoir trop de bruit et de pouvoir se reposer. Raphaël va même réussir à faire la grasse matinée jusqu’à 10h.

Après un petit déjeuner fourni grâce à Pascal -il a fait l’aller retour jusqu’à village de Moliets pour nous trouver du vrai pain, du jus des yaourts de brebis délicieux et des fruits- nous sommes rejoins par Solène et son amie Maureen.

Nous avons décidé d’aller nous promener dans la réserve naturelle du courant d’Huchet. Il faut laisser Osiris car les chiens n’y sont pas autorisés.

En route.

La promenade commence au milieu de pins par un silence que j’adore. Cueillette de mûres bien sûr mais aussi découverte d’un nouveau fruit pour certains.

Et vous, vous savez ?

Il y a des tapis de mûres. C’est rageant de ne pouvoir les ramasser pour s’en faire une grosse salade, mais les ronces sont trop grosses.

Ah comme j’aimerai faire de la confiture

Un peu plus loin, la réserve nous offre des images féeriques. Vues sur le courant- qui est relativement rapide, arbres morts, racines sorties de terre, pommes de pins gigantesques tout est magique.

Le courant d’Huchet
Oh le beau cerf !
Il y a les trèfles à 4 feuilles et les pommes de 4 🤩
Voyez vous la démarcation de l’humidité venant du courant ?

Solène nous offre le plaisir d’une jolie pause.

Bon les lunettes rouges … c’est un style à la Gary Oldman dans Dracula
Et les explications pour les curieux.

La ballade se termine en revenant à notre point de départ. Je. Profite pour mettre les pieds à l’eau. Je vais revenir l’après-midi pour profiter du lieu.

Il est presque 15h, nous avons faim. Grosse sale cposee, mais aussi poulet cuit et fruits encore grâce aux courses faites au matin par Pascal.

Solène, Raphaël, Maureen et Pascal vont à la plage jouer dans les rouleaux. Pour ma part, je retourne au courant d’Huchet mais pas seule. Osiris m’accompagne pour qu’elle aussi profite de la fraîcheur de l’eau.

Ma toutoune s’éclate !

Je m’installe au pied dune petite dune qui m’abrite du vent. Je suis à nouveau ébahie par les beautés de la nature.

Des cités de dentelles

Le sable et le vent m’offrent leur travail d’orfèvres ou d’architectes.Ensemble, ils créent des villes miniatures fantomatiques. On dirait des cathédrales miniatures.

C’est la cité de Minas Tirith. Référence ?

C’est au pied de ces sculptures que j’en profite pour écrire un peu l’article puis lire et me reposer.

Le soir, c’est un barbecue géant que nous faisons. Géant car nous sommes 7 car nous dînons avec Solène et ses amis.

Ils sont beaux non ?

Après cette soirée simple et joyeuse, au lit. Demain nous remontons en selle.

Merci pour votre lecture.

Anne-Laure